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Programme

Laboratoires partenaires

CRHIA

Le CRHIA (Centre de Recherches en Histoire Internationale et Atlantique- EA 1163, Universités de Nantes et La Rochelle) est l’un des grands centres de recherches historiques de l’Ouest, labellisé par le Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche au titre du contrat quinquennal 2017-2021. Le laboratoire rassemble des chercheurs en histoire ancienne, histoire médiévale, histoire moderne, histoire contemporaine, lettres et langues. Soit au total 137 membres (47 enseignants-chercheurs titulaires, 9 professeurs émérites, 3 autres chercheurs, 4 post-doc, 67 doctorants et 7 personnels administratifs et techniques) et 94 chercheurs associés autour d’une thématique commune : « Du monde à l’Atlantique, de l’Atlantique au monde : modalités, espaces et acteurs des échanges internationaux de l’Antiquité à nos jours ». L’un des 3 axes de recherche porte sur les Relations Internationales, Diplomatie et guerre, dont I. Pimouguet-Pédarros est coresponsable (avec M. Catala et S. Jeannesson), et dont un des sous-axes porte sur la transgression en temps de guerre.

https://www.crhia.fr/

CERHiC

Fondé en 2005, le CERHiC (Centre d’Etudes et de Recherche en Histoire Culturelle- EA 2616, Université de Reims Champagne Ardenne) est dirigé par Isabelle Heullant-Donat, professeur d’Histoire médiévale. Il rassemble vingt membres titulaires, seize membres associés et une vingtaine de doctorants. Le laboratoire associe des historiens de toutes les périodes et des musicologues. Il compte deux membres de l’Institut Universitaire de France, Isabelle Poutrin (senior, promotion 2016) et Delphine Diaz (Junior, promotion 2020). Il est porteur d’une autre ANR (AUBUPAR – 2020-2023_Claire Angotti). Le contrat de laboratoire pour 2018-2022 s’articule suivant trois axes, dont deux dans lesquels Parabainô trouve sa place : Normes, individus et sociétés, puis Modèles, cultures et transmissions.

https://cerhic.hypotheses.org/

HISTEMÉ

HISTEMÉ (Histoire-Territoire-Mémoire, ex crhq- EA 7455, Université de Caen) est une équipe d’accueil de l’université de Caen-Normandie qui a pour objectif de porter une recherche scientifique de haut niveau, en structurant des projets et en répondant à des appels d’offre (type ANR) sur les thèmes de l’histoire économique et sociale, des rapports hommes/environnement, de l’histoire des pouvoirs et des conflictualités, des circulations culturelles et de la construction des mémoires. L’axe, Paix et Conflits, interroge les normes et les réponses aux situations extrêmes. Le laboratoire décline ses échelles d’étude du local à l’international, valorise les approches en longue durée et les démarches pluridisciplinaires. HISTEMÉ fédère des enseignants-chercheurs, des chercheurs associés et des doctorants en Histoire, en Lettres et Arts du Spectacle.

http://www.unicaen.fr/recherche/mrsh/histeme

CRéAAH

Le CReAAH ( Centre de Recherche en Archéologie, Archéosciences, Histoire – UMR 6566) est une structure de recherche interdisciplinaire. Il est actuellement réparti sur 4 sites : Rennes 1, Rennes 2, Nantes et le Mans. Le directrice de l’UMR est Marie-Yvane Daire (Rennes 2) et la responsable du laboratoire CReAAH du Mans est Aline Durand. Unité structurante et fédératrice des recherches en sciences humaines et sociales et en archéologie, le CReAAH a une large ouverture à l’international et une forte expérience en partenariats de projets : son équipe 4 travaille sur la question des identités et notamment sur le corps.

http://cesam-creaah.univ-lemans.fr/

ANHIMA

L’UMR 8210 ANHIMA (Anthropologie et Histoire des Mondes Antiques) est née en 2010 de la fusion de trois équipes préexistantes : le Centre L. Gernet – Recher­ches comparées sur les sociétés anciennes (ex-UMR 8567, CNRS-EHESS), le Centre G. Glotz – Recherches sur les mondes hellénistique et romain (ex-UMR 8585, CNRS-EPHE-Uni­ver­sités Paris 1 et Paris IV) et Phéacie – Pratiques culturelles dans les sociétés grecque et romaine (ex-EA 6163, Université Paris 1 et Paris 7). La situation unique d’ANHIMA dans le paysage national et international de la recherche sur l’An­ti­quité s’explique par la complémentarité de ces équipes. Le Centre Gernet s’était fait le promoteur d’une démarche d’anthropologie historique et comparatiste accor­dant une place privilégiée à l’étude des pratiques et représentations sociales et religieuses. Le Centre Glotz inscrivait davantage ses activités dans une tradition d’histoire institu­tion­nelle, politique, économique, sociale et religieuse. L’équipe Phéa­cie avait ouvert de nouvelles perspectives dans l’étude des identités culturelles, de l’histoire du genre et de la définition du politique.